Frayeur incontrôlé
Je t'expose ce tourment.
1 an sans relache, tu as demeuré en moi.
Le jour de cette putain naissance religieuse, tu as jaillie.
Je me cantonne, mussant ma folie, pour ne paraître désaxé.
Au crépuscule l'émoi s'amplifie violemment.
Prise de sang de côté.
Le ventricule s'exalte,
Attendant qu'il cesse mais il persiste,
Jusqu'à qu'il ne pourra plus.
Elle éclot en moi, je fond.
Mais c'est pas moi qu'elle a décidé d'emporter.
Ce 27 est la plus détestable journée;
Où l'autre me l'a auguré.
Ton corp macchabé, retrouvé innanimé, sommeil éternel, les anges sont là auprès de toi.
Mais c'est lui que tu as pris, mon sang noir et nuit.
Il ne me reste que son opposé.
Cette partie de moi s'étant retiré, je te profère toi ma peur,
Je suis ôté.
Alors tu as rappliquer, contradictoire tu débarques. dévorant tout se qui passe.
Combien, combien de temps vais-je encore vivre dans cette folie ?
Il ne m'en reste qu'un, ne l'emporte pas, laisse le moi encore.
Maintenant, l'apaisement mais cette crainte et cette affliction incessamment présente..